Description
En février 2013, la crise du Horsegate a éclaté, révélant la présence de viande de cheval dans des produits théoriquement élaborés à base de bœuf. Cette crise mis à jour un trafic d’ampleur européenne mais surtout une volonté de certains industriels de frauder par le biais des produits alimentaires. Après le scandale, les notions de fraude et d’authenticité alimentaires ont fait l’objet d’une attention accrue de la part de la communauté scientifique et de l’industrie agroalimentaire. Les entreprises doivent désormais s’armer pour répondre aux exigences de leurs clients en matière d’authenticité et mettre en place des systèmes pour minimiser les risques d’achats de matières premières alimentaires frauduleuses.
D’après le GFSI (Global Food Safety Initiative), la fraude alimentaire est un terme collectif englobant la substitution, l’ajout, l’altération ou dénaturation, délibérée et intentionnelle, de denrées alimentaires, d’ingrédients alimentaires ou d’emballages alimentaires, d’étiquetage, d’informations sur le produit ou de fausse déclaration ou de déclaration trompeuse effectuée au sujet d’un produit, pour en tirer un avantage économique, qui pourrait impacter la santé des consommateurs.
Remise aux participants de l’outil « Fraude » ADRIA permettant de bâtir votre étude, qui permet de structurer votre étude et définir les critères d’analyse et de répondre aux exigences de l’IFS et du BRC.
Détail des durées et horaires :
- 1 jour (7 heures)
9h00-12h30 / 14h00-17h30